• elle déborde.

     

    Tu te sens mal, il est pourtant vaillant ce gaillard là. Passade oubliée. Sentiment enfoui inexorablement refoulé. Il n'en est plus. L'oiseau de Paradis te rappel à l'ordre. Elle s'enfuira, histoire d'une paix tentée. On espère trop. Court-métrage qui fait défiler ces idées. Vieilles bobines, il en va de la nature même de l'homme. Il faut s'en aller pour retrouver ses esprits. Aux oubliettes. Seul le temps en a la capacité. Difficulté d'y échapper. Bonheur d'adéquation. Solitude et herbe fraîche, nécessité pour tous. Décision vive et attendue. On se languirait presque.


  • Commentaires

    1
    Mercredi 30 Avril 2008 à 07:18
    L'aurais-je vu
    L'étrangement loin d'un amour, d'un chien qui court, d'une vague qui se ramène et s'enfuit. Un long soupire de bonheur, de désir, de gestes à demi pardonnés, de futurs imparfaits que l'on a tôt fait de contorsionner. Un seul regard sur la plage, l'exclamation d'un souvenir égaré. Merci de me partager le trésor de ta pensée, Phil
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