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    C'EST LA FIN. 

     

     

     


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  • Chamboulée, énervante, impulsive et injuste. Un rien la renverse. Elle est comme une tarte-tatin. Mais où est passée cette sagesse qui la caractérisait. Ce coté, calme et positif.
    Le noir fait désormais parti intégrante de son existence et la colère la suit comme une ombre. Et souvent une envie de la dépasser, mais la fureur lui colle aux talons, impossible de s'en détacher. Compréhension d'une vie antérieure : marre de se laisser marcher sur les pieds, d'être cette personne d'apparence sans caractère. Jadis, elle aurait tout fait pour que personne ne se dispute. Reine du compromis, indifférente à ces heures, elle était heureuse. Elle en avait assez que rien ne la touche, d'attendre ce je ne sais quoi qui serait toujours mieux que l'instant présent. Et toujours elle y croit à cette affaire, mais tout lui tient à coeur, beaucoup trop d'ailleurs.
    Elle se retrouve débordante de volonté de vivre, mais elle gâche tout voulant récupérer l'impossible. Volonté de ne rien perdre, besoin de tout contrôler, l'inconnu l'intrigue mais jamais elle n'y court, poltronne et pusillanime de se laisser emporter vers d'autres rives. Pourtant elle se dit aimer l'aventure.
    Elle ne donne pas chère de sa confiance aux autres, eux qui nous font exister, cette populasse qui te porte au plus haut et qui t'enfonce sans gène dans l'oubli le plus total. Pouvoir décisionnel, putain laisser moi. Elle veut retrouver cette indifférence, cette apparente allure de je m'en-fichisme. Insouciance vient me cueillir. La vieillesse l'emporte, sa jeunesse s'estompe, mais elle devrait retrouver la sagesse, l'équilibre est instable.
    Allez arrête tes jérémiades.



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    Tu te sens mal, il est pourtant vaillant ce gaillard là. Passade oubliée. Sentiment enfoui inexorablement refoulé. Il n'en est plus. L'oiseau de Paradis te rappel à l'ordre. Elle s'enfuira, histoire d'une paix tentée. On espère trop. Court-métrage qui fait défiler ces idées. Vieilles bobines, il en va de la nature même de l'homme. Il faut s'en aller pour retrouver ses esprits. Aux oubliettes. Seul le temps en a la capacité. Difficulté d'y échapper. Bonheur d'adéquation. Solitude et herbe fraîche, nécessité pour tous. Décision vive et attendue. On se languirait presque.


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    Jalousie. Attente. Éloignement. Malaise. Son casier judiciaire est vierge et pourtant de nombreux délits à son actifs. Il faudrait qu'elle prenne le large quelque temps. Qu'elle s'aère l'esprit. Cause de certaine maladresse, mésentente. C'est parce que le Fa s'en va avec le Si, nouvelle mélodie. Que le Do de portée s'est trompé, il aime plus que tout sa croche pointée. Le Ré se fait désirer. Elle en tremble, pas de plaisir, mais de stress. Bouton d'or et confusion. Période de dislocation après un temps en suspension. Il y a des lustres, on s'invitait à danser plus facilement. Trahison et compassion. Incompréhension et amant. Videment blanc. Trouble elle l'est. Et se répend alentour. Volonté d'abandon, la foule est à fuir. Lamentation, quelques uns y croient. Mais putain elle prendrait bien le large. Zéro, point de départ, elle l'espère. On s'excuse, mais toujours réapparaissent vos gueules d'amis sur ce fond de lycée. Vite dit. Et rien ne semble changer. Prise de coeur, prise de tête, il existe un vaccin. Absence de baise main. Elle tentera l'esquive et la solitude. Il est bien difficile d'exister, machine à remous, elle ne le fait pas exprès. Elle est cet oiseau de malheur. Tous se fâchent à ses côtés. Déconcertée, elle se ferait bien un saxophoniste. Il le faudra pourtant, dire adieu.


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  • Habitude solitaire, thé en main, mars est over et la symphonie n'est plus. Trois notes estompées, mais vieux garçon elle ne le sera jamais. On ne l'y reprendra plus à filmer dans son esprit. Photographe, et prise de son, bons moments à partager entre amis, instants figés, le soleil arrive. On irai même faire une sieste dans l'herbe, pas le temps, tous sont pressés, ils ne nous restent plus qu'à faire le cocktail du siècle, alors on enchaîne les fêtes et les coup(e)s d'un soir. Lamentable, mais la jeunesse est irremplaçable . Solitude habituelle de la semaine, diplomatie des soirées, menteuse. L'inversement proportionnelle est attendue avec joie. En attendant, on croit encore aux beaux jours et à son influence. On dirait qu'on a la maladie du décalco, et pourtant plus personne ne mange de malabars. On s'y éloigne et bientôt on partira.

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